Lieux d'implantation des déchèteries publiques à La Réunion
Installations de combustion ou d'incinération de déchets permettant la production d'énergie
"Zones de préemption au titre des ENS (ZPENS) en vigueur à La Réunion. Ce zonage réglementaire a été établi suite à enquête publique et avec l'accord des communes concernées, par délibérations du conseil municipal et du Conseil départemental. Conformément à l'article L. 215-14 du Code de l'Urbanisme, toute aliénation mentionnée aux articles L. 215-9 à L. 215-13 du C.U. est subordonnée, à peine de nullité, à une déclaration préalable adressée par le propriétaire au Département dans lequel sont situés les biens (...). Cette déclaration (D.I.A.) comporte obligatoirement l'indication du prix et des conditions de l'aliénation projetée ou, en cas d'adjudication, l'estimation du bien ou sa mise à prix."
Les installations ici rencensées représentes les plateformes de broyage et/ou de compostage présentes à La Réunion. De plus, il est aussi mentionné l'unité de broyage et de combustion en tant que CSR de la future installation de RunEva.
Entre 2017 et 2022, l’association Centre d’Etude et de Découverte des Tortues Marines (CEDTM) est en charge de mettre en œuvre une mesure de compensation de la Nouvelle Route du Littoral MCM05 intitulée "Amélioration des conditions de quiétude des mammifères marins et des tortues marines pour la durée du chantier" et financée par la Région Réunion. Dans le cadre de ce programme, des sorties régulières en bateau sont réalisées pour non seulement répertorier les observations des mammifères marins et tortues marines mais également pour sensibiliser les usagers de la mer. Ici deux couches par année d'observation sont disponibles, une couche point permettant de répertorier toutes les observations du Dauphin long bec (Stenella longirostris) ; une couches polygone, correspondant à un maillage de 1 km de côté et permettant de visualiser les observations du Dauphin long bec en fonction de l'effort d'échantillonnage.
Évaluation de la qualité écologique des masses d’eau côtières de la Réunion dans le cadre du programme de surveillance de la Directive Cadre sur l'Eau (2000/60/CE) pour le benthos de substrats durs. Le suivi est effectué tous les 3 ans du plan de gestion à raison d’une campagne par an préférentiellement en période estivale. Carte 2013 : la première campagne du suivi ayant eu lieu en 2015, l’évaluation a été réalisée à partir des données de suivi des pentes externes acquises entre 2006 et 2011 dans le cadre du suivi GCRMN de la RNMR. Le paramètre le plus déclassant est pris en compte pour l'évaluation de l'état. Évaluation validée dans le cadre de la mise à jour de l’état des lieux 2013. Carte 2016 : L’évaluation a été réalisée à partir des données de la campagne de 2015. Carte 2019: État de l'Atlas DCE en janvier 2019: évaluation basée sur les données acquises sur la période 2011-2016 L’évaluation la plus récente de l’état de cet élément est présentée dans l’atlas DCE Réunion.
Des survols aériens en ULM ont été réalisés (164) entre 2010 et 2013 dans un objectif d'évaluer la fréquentation des usagers au sein de la Réserve. Ces vols ont pu être réalisés sous différentes strates temporelles (saison, heure, vacances/hors vacances, semaine, week-end, etc.) afin d'identifier les pics de fréquentations. Des photographies instantannées sont réalisées depuis l'ULM, les usagers sont ensuites comptés et distingués en fonction du type d'activité pratiquée en fonction de zones.
Périmètres de restriction et tronçons réglementés des manifestations publiques en cœur du Parc national de La Réunion selon la réglementation des manifestations publiques en vigueur au 01/01/2023.
Ce jeu de données liste les images acquises par l’équipe PIMANT (Plateforme d’Imagerie Aéroportée Numérique des Territoire) du Pôle Information Géographique de la Région Réunion. La plateforme PIMANT permet d’acquérir, de produire et de distribuer des images ariennes à très haute résolution spatiale à partir d’ULM et de drone au service de l’aménagement et du développement du territoire. Ces images, une fois traitées, produisent des données orthorectifiées tels que des orthophotos (VIS et/ou PIR) et des produits associés d’élévation (MNS, MNE). Contacts : pimant@cr-reunion.fr Ce projet est cofinancé par l’Union Européenne dans le cadre du PO Feder 2014-2020 au titre du dispositif d’aide 1.04 « Améliorer les compétences au service de l’économie de la connaissance ». OPERATION SYNERGIE RE0001805
Une masse d'eau souterraine est un volume distinct d'eau souterraine à l'intérieur d'un ou de plusieurs aquifères, constituant le découpage élémentaire des milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la DCE. Elle permet de définir les objectifs environnementaux, d’évaluer l’état des milieux et ultérieurement de vérifier l’atteinte de ces objectifs. Les masses d'eau souterraine, s’appuyant sur les travaux réalisés sur le référentiel hydrogéologique BDRHF V1 ont été identifiées et délimitées pour la première fois en 2004 puis ont été mises à jour en 2010. Elles ont fait l’objet du rapportage à la Commission Européenne sur la mise en œuvre de la DCE le 22 mars 2010, puis d’un rapportage correctif en février 2011, prenant ainsi en compte les dernières mises à jour. Début 2013, un travail de mise en cohérence et de mise au format Sandre de la version rapportée à l’Europe de février 2011 a été réalisé. La version désormais diffusée sur le site du SANDRE est conforme au rapportage de 2010 corrigé février 2011 ; elle contient cependant un certain nombre d’anomalies, présentes dans les données rapportées, et mises en exergue dans le rapport BRGM/RP-62141-FR. Ces anomalies feront l’objet de corrections dans la prochaine version du référentiel Masse d’eau (masses d’eau provisoires, définies pour l’Etat des Lieux 2013, puis masses d’eau pour le plan de gestion 2016-2021). Les couches sont diffusées dans un format conforme au dictionnaire de données SANDRE du Référentiel masse d’eau, version 1.2. Le découpage retenu pour les masses d’eau répond aux quelques grands principes exposés ci-après : Les masses d’eau sont délimitées sur la base de critères géologiques et hydrogéologiques, Le redécoupage des masses d’eau pour tenir compte des effets des pressions anthropiques doit rester limité. Les limites des masses d’eau doivent être stables et durables A l’image des masses d’eau superficielle, la délimitation des masses d’eau souterraine est organisée à partir d’une typologie. Cette typologie s’inspire largement de celle élaborée pour les entités hydrogéologiques définies dans le cadre de la révision de la BD RHF. Elle est basée sur la nature géologique et le comportement hydrodynamique ou fonctionnement « en grand » des systèmes aquifères (nature, vitesse des écoulements). Elle comprend deux niveaux de caractéristiques, principales et secondaires. Les masses d’eau peuvent avoir des échanges entre elles. Tous les captages d’Alimentation en Eau Potable, fournissant plus de 10 m3/jour d’eau potable ou utilisés pour l’alimentation en eau de plus de 50 personnes, doivent être inclus dans une masse d’eau. Les eaux souterraines profondes, sans lien avec les cours d’eau et les écosystèmes de surface, dans lesquelles il ne s’effectue aucun prélèvement et qui ne sont pas susceptibles d’être utilisées pour l’eau potable en raison de leur qualité (salinité, température…), ou pour des motifs technico-économiques (coût du captage disproportionné) peuvent ne pas constituer des masses d’eau. Compte tenu de sa taille, une masse d’eau pourra présenter une certaine hétérogénéité spatiale tant au niveau de ses caractéristiques hydrogéologiques que de son état qualitatif et quantitatif. En un point quelconque plusieurs masses d’eau peuvent se superposer.