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  • Planche illustrant les caractéristiques des faciès sédimentaires des plateformes récifales de Saint-Paul à Grand Anse observées dans le cadre des travaux réalisés par le groupement CAREX Environnement / ARVAM en 2005 pour le compte de l'association "Parc Marin de La Réunion". (Carex Environnement, Arvam, 2005. Conservation et réhabilitation des récifs coralliens de La Réunion - Phase 2 - Saint-Gilles, Saint-Leu, Saint-Pierre. 60 p. + Annexes).

  • Une masse d'eau souterraine est un volume distinct d'eau souterraine à l'intérieur d'un ou de plusieurs aquifères, constituant le découpage élémentaire des milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la DCE. Les masses d'eau souterraines sont dérivées de travaux réalisés sur le référentiel BDLISA. Le découpage retenu pour les masses d’eau répond aux quelques grands principes exposés ci après : - Les masses d’eau sont délimitées sur la base de critères géologiques et hydrogéologiques ; - Le redécoupage des masses d’eau pour tenir compte des effets des pressions anthropiques doit rester limité ; - Les limites des masses d’eau doivent être stables et durables ; - A l’image des masses d’eau superficielle, la délimitation des masses d’eau souterraine est organisée à partir d’une typologie. Cette typologie s’inspire largement de celle élaborée pour les entités hydrogéologiques définies dans le cadre de la révision de la BDLISA. Elle est basée sur la nature géologique et le comportement hydrodynamique ou fonctionnement « en grand » des systèmes aquifères (nature, vitesse des écoulements). Elle comprend 2 niveaux de caractéristiques (principales et secondaires) ; - Les masses d’eau peuvent avoir des échanges entre elles ; - Tous les prélèvements d'eau à usage eau potable fournissant plus de 10m3/jour ou utilisés pour l’alimentation en eau de plus de 50 personnes doivent être inclus dans une masse d’eau ; - Les eaux souterraines profondes, sans lien avec les cours d’eau et les écosystèmes de surface, dans lesquelles il ne s’effectue aucun prélèvement et qui se sont pas susceptibles d’être utilisées pour l’eau potable en raison de leur qualité (salinité, température, etc.), ou pour des motifs technico-économiques (coût du captage disproportionné) peuvent ne pas constituer des masses d’eau ; - Compte tenu de sa taille, une masse d’eau pourra présenter une certaine hétérogénéité spatiale tant au niveau de ses caractéristiques hydrogéologiques que de son état qualitatif et quantitatif ; - En un point quelconque plusieurs masses d’eau peuvent se superposer. (source : d'après BRGM, MISE EN OEUVRE DE LA DCE : IDENTIFICATION ET DELIMITATION DES MASSES D’EAU SOUTERRAINE - guide méthodologique, Janvier 2003) Correspondance rapportage DCE : cette entité correspond au concept de Ground Water Body (GWB) de WISE. Les couches sont diffusées dans un format conforme au dictionnaire de données SANDRE du Référentiel masse d’eau, version 1.4.

  • Entre 2017 et 2022, l’association Centre d’Etude et de Découverte des Tortues Marines (CEDTM) est en charge de mettre en œuvre une mesure de compensation de la Nouvelle Route du Littoral MCM05 intitulée "Amélioration des conditions de quiétude des mammifères marins et des tortues marines pour la durée du chantier" et financée par la Région Réunion. Dans le cadre de ce programme, des sorties régulières en bateau sont réalisées pour non seulement répertorier les observations des mammifères marins et tortues marines mais également pour sensibiliser les usagers de la mer. Ici deux couches par année d'observation sont disponibles, une couche point permettant de répertorier toutes les observations du Dauphin long bec (Stenella longirostris) ; une couches polygone, correspondant à un maillage de 1 km de côté et permettant de visualiser les observations du Dauphin long bec en fonction de l'effort d'échantillonnage.

  • Évaluation de la qualité écologique des masses d’eau côtières de la Réunion dans le cadre du programme de surveillance de la Directive Cadre sur l'Eau (2000/60/CE) pour la transparence. Carte(s) issue(s) de l’Atlas DCE Bassin de La Réunion. Les mesures de transparence sont réalisées en sub-surface dans les masses d’eau côtières et en surface-fond (inf 3m) dans les masses d’eau côtières de type récifal. Le suivi est effectué tous les ans du plan de gestion à raison de 2 campagnes par période échantillonnée : hiver austral (juillet/août), saison chaude (novembre/décembre), milieu saison cyclonique (février/mars). L’indicateur transparence est défini par le percentile 90, qui correspond à la valeur telle que 90% des valeurs observées lui sont inférieures. Il est comparé à la valeur de référence correspondant au type de la masse d'eau ce qui permet de comparer la valeur à la grille de qualité et classer la masse d’eau au regard de cet élément en très bon, bon, moyen, médiocre ou mauvais. Carte 2013 : Évaluation basée sur les données acquises jusque fin 2012 et validée dans le cadre de la mise à jour de l’état des lieux 2013. Carte 2016: État de l'Atlas DCE en 2016: évaluation basée sur les données acquises jusque fin 2015 Carte 2019: État de l'Atlas DCE en janvier 2019: évaluation basée sur les données acquises sur la période 2011-2016 L’évaluation la plus récente de l’état de cet élément est présentée dans l’atlas DCE Réunion.

  • Cartographie des fréquences d'observation des différentes espèces de cétacés autour de l'île de La Réunion en 2016 selon une grille de maille 2kmx2km.

  • Levé du site de La Réunion - Pointe des Galets réalisé au TLS

  • La mise en oeuvre d’un Inventaire Permanent du Littoral (IPLI) a été décidée en 1977 dans le cadre d’un Comité interministériel d’aménagement du territoire. Dans sa version suivante (IPLI 82), la légende des cartes d’usage des sols a été substantiellement modifiée afin de pouvoir appréhender de manière plus détaillée les évolutions des phénomènes urbains et touristiques (17 postes). Afin de permettre d’appréhender, à l’échelle nationale, les changements essentiels intervenus sur l’espace littoral depuis la mise en oeuvre de la « loi littoral » de 1986, le ministère de l’Equipement a demandé au Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement (CETE) Normandie Centre d’engager la numérisation des cartes d’usage du sol IPLI 77 et de constituer une base de données structurées utilisable par des Systèmes d’information géographique (SIG). Cette couche est temporairement hébergée sur sextant. Elle sera bientôt accessible sur le serveur de la DEAL Réunion à travers l’outil de cartographie dynamique CARMEN.

  • Cartographie de l'abondance relative des différentes espèces de cétacés autour de l'île de La Réunion en 2008 selon une grille de maille 2kmx2km.

  • Le trait de côte ou la ligne de rivage est la limite géographique entre mer et terre. Il correspond d’après le SHOM à « la laisse des plus hautes mers dans le cadre d'une marée astronomique de coefficient 120 et dans des conditions météorologiques normales (sans phénomène de surcôte). Le trait de côte tel que défini ci-dessus n'est pas directement repérable de façon continue sur le terrain ou sur une image satellite ou aérienne. Dans une perspective d’étudier le déplacement du rivage des indicateurs permettent d’approcher cette notion (la limite de végétation associée à la limite des infrastructures, le pied de plage,….). Sur le littoral récifal de l’île de La Réunion la limite de végétation et d’infrastructure ainsi que de pied de plage ont été retenue. Cette limite se traduit par la production d’une couche d’information géographique vecteur de type ligne dans un SIG résultat de la photo-interpétration sur d’images satellites Pléiades. Les images satellitaires Pléiades issues de la base de données Kalidéos Réunion (CNES) sont utilisées depuis 2016 pour étudier la position du rivage annuellement. Lancé en 2011, Pléiades est un système d’images spatiales à très haute résolution spatiale (instrument optique panchromatique à 70 cm et 2,8 m en multispectral) opérant dans le visible et le proche infrarouge avec une fauchée de 20 km UMR Espace-Dev

  • Cette couche est temporairement hébergée sur sextant. Elle sera bientôt accessible sur le serveur de la DEAL Réunion à travers l’outil de cartographie dynamique CARMEN.