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  • Lycées public 2013, ne contient pas les lycées privés

  • La caractérisation des résurgences d'eaux souterraines dans les plateformes récifales peut être mise en évidence par la recherche de variation de température. En effet les platiers de La Réunion sont peu profonds et la température de l'eau de mer y est plus importante que l'eau douce provenant des eaux souterraines. Ainsi la cartographie exhaustive des résurgences de La Réunion est issue d'une combinaison de techniques in situ, (mesures de salinité et de température) et de cartographie aérienne infrarouge à partir d'un hélicoptère. Ces données ont été acquises dans le cadre du projet Eutrolag mis en oeuvre par l'ARVAM et ses partenaires (IUEM, etc.) sous couvert d'un contrat de prestation passé par l'Ifremer. Le projet Eutrolag est une des actions du projet Bioindication (financé par Ifremer et ONEMA).

  • Afin de disposer d'une limite de référence actualisée entre les masses d'eau marines et le milieu terrestre pour le littoral de l'île de La Réunion, la Délégation océan-Indien de l'Ifremer s'est appuyée sur : 1/ la BD-ORTHO-2012, 2/ de la couche "Morphocôte" du BRGM produite en 2004, et 3/ des investigations de terrain menées par GEOMER du 29/05/2012 au 12/06/2012. Le tout a été assemblé et relié pour en faire un polygone unique par Ifremer DOI. La donnée constituée représente le trait de côte "naturel" numérisée au niveau du jet de rive.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées de balises Argos après leur reproduction. Les balises ont été déployées entre 1998 et 2011. On regarde ici la migration des tortues en fonction de la période pendant laquelle une balise Argos a été déployée sur les tortues : durant le pic de ponte ou en dehors, et ce quelque soit le site de départ (lieu où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • la couche décrit l'emprise spatiale du bati situé hors des zones urbaines réglementaires, également appelé "mitage". Données produites dans le cadre d'un projet financé par l'ANR.

  • Cette représentation graphique illustre les couloirs migratoires des tortues vertes en migration post-reproductive depuis les principaux sites de ponte du Sud-Ouest de l'océan Indien. Elle se base sur 77 trajets de tortues vertes acquis entre 1998 et 2012 à partir des sites de pontes Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Le modèle utilisé pour extrapoler les données est une approche MKDE. Pour plus de renseignements sur la méthode, voir Bourjea et al. 2013. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projet "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Les observations sont réalisées selon un protocole précis de survol en ULM de la côte ouest de La Réunion, entre Saint-Leu et Saint-Paul (Jean et al 2010). Cette côte est découpée en zones en fonction de la géomorphologie du littoral (géomorphologie comprise entre 0 et 50 m de fond). Ces observations sont ici rapportées en densités par vol et par kilomètre carré, pour chaque année. Ce programme est financé par Kelonia et la Région Réunion.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes balisées après leur reproduction. On regarde ici la relation entre site final de migration et la présence d'une AMP, et ce quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • La tache urbaine est une donnée de référence à la Réunion pour la mesure de l’étalement urbain. Elle est une réponse à un besoin de spatialiser l’espace urbanisé, de le quantifier et de suivre dans le temps ses évolutions afin d’alimenter les réflexions de planification et de prospective territoriale. Elle est calculée depuis 1997 selon une approche morphologique ayant pour base la réalisation d'une zone tampon autour des bâtiments de la BD Topo de l'IGN.

  • Cette couche a été constituée dans le cadre du PNA - Tortue (Plan National d'Action, 2013), par jointure spatiale entre la couche des ZEE (Zones Économiques Exclusives) des pays du Sud-Ouest de l'océan Indien, et celle des trajets migratoires des tortues vertes après reproduction quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont été réalisés dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.