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  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes balisées après leur reproduction. On regarde ici la relation entre site final de migration et la présence d'une AMP, et ce quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées d'une balise Argos après leur reproduction. On regarde ici la migration des tortues en fonction du site de départ (lieu où la balise Argos à été posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces données représentent les clades génétiques de tortues vertes, c'est-à-dire des regroupements d'haplotypes formant un même groupe. On regarde la proportion des différentes clades en fonction des principaux sites de reproduction : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique, Tromelin, Iranja, Farquhar, Aldabra, Cosmoledo, Amirantes et Granitics. Ces données sont issues du projet "génétique tortue" porté par Kélonia/Ifremer.

  • Cette couche a été constituée dans le cadre du PNA - Tortue (Plan National d'Action, 2013), par jointure spatiale entre la couche des ZEE (Zones Économiques Exclusives) des pays du Sud-Ouest de l'océan Indien, et celle des trajets migratoires des tortues vertes après reproduction quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont été réalisés dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • Ces données sont une estimation du nombre annuel de femelles présentes sur les principaux sites de reproduction : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique, Tromelin, Iranja, Farquhar, Aldabra, Cosmoledo, Amirantes et Granitics. Ces données sont issues du projet "génétique tortue" porté par Kélonia/Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées de balises Argos après leur reproduction. Les balises ont été déployées entre 1998 et 2011. On regarde ici la migration des tortues en fonction de la période pendant laquelle une balise Argos a été déployée sur les tortues : durant le pic de ponte ou en dehors, et ce quelque soit le site de départ (lieu où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Cette représentation graphique illustre les couloirs migratoires des tortues vertes en migration post-reproductive depuis les principaux sites de ponte du Sud-Ouest de l'océan Indien. Elle se base sur 77 trajets de tortues vertes acquis entre 1998 et 2012 à partir des sites de pontes Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Le modèle utilisé pour extrapoler les données est une approche MKDE. Pour plus de renseignements sur la méthode, voir Bourjea et al. 2013. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projet "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.