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  • Localisation des stations centrales du suivi de l'état de santé des récifs coralliens de la Réunion. Suivi annuel des pentes externes et zones lagonaires de type GCRMN (Global Coral Reef Monitoring Network) par la RNMR depuis 1998.

  • Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un plan d’eau ou une ligne littorale. La nature d’une entité hydrographique n’est pas constante sur toute l’entité. Par exemple, un cours d’eau naturel peut être aménagé sur une partie. Tous ces changements peuvent être indiqués en distinguant des sous-milieux sur l’entité. Les entités hydrographiques sont décomposées en deux types : - les entités hydrographiques linéaires ou cours d’eau, - les entités hydrographiques surfaciques correspondant aux plans d’eau et aux entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique surfacique peut être traversée par un cours d’eau, qui sera nommé cours d’eau principal. Chaque entité est identifiée par un code générique unique au niveau national. Ce code alphanumérique sur 8 positions est constitué de tirets et de caractères. Par exemple, un cours d'eau qui traverse plusieurs zones ou plusieurs sous-secteurs aura un code générique du format des codes génériques suivants "V12-4000" ou "R5--0420" (cf. ci-après pour la règle de construction). De plus, une entité hydrographique possède une dénomination dite principale. Règle de construction du code générique de l’entité hydrographique : A chaque entité hydrographique est attribué un numéro à 3 chiffres (5, 6 et 7ème caractères) unique pour le milieu et la ou les zones hydrographiques auxquels elle appartient : il s'agit du numéro de l'entité hydrographique. Une entité hydrographique appartenant à plusieurs zones conserve son numéro d'entité dans toutes les zones concernées. Deux entités hydrographiques d'un même milieu appartenant à deux sous-milieux différents auront des numéros d'entité distincts. Les quatre premiers caractères du code générique correspondent à l’ensemble des codes invariants des zones hydrographiques, le reste des caractères étant remplacé par des tirets ‘-‘. Par exemple, le cours d’eau “ Viveronne ” a pour numéro de l’entité : 050 et pour code milieu : 0. Ce cours d’eau est situé à l’intérieur d’une seule zone hydrographique : P737. Son code générique est donc : P7370500 Le cours d’eau “ La Dronne ” a pour numéro d’entité : 025 et pour code milieu : 0 . Ce cours d’eau traverse plusieurs zones hydrographiques (même plusieurs sous-secteurs ) : P746,P744, P742, P70, P734, P731, P730, P716, P715, P714, P711, P710, P702, P701, P700. Parmi ces codes, seuls les deux caractères sont invariants. Son code générique est donc : P7--0250 De manière similaire, la Garonne a pour numéro d’entité : 000 et pour code milieu : 0. Ce cours traverse plusieurs secteurs hydrographiques (tout commencant par “ 0 ”. Son code générique est : 0---00000 Une entité hydrographique de surface est une entité hydrographique regroupant les plans d'eau et les entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique est décomposée en éléments hydrographique de surface. Dans certains cas, une entité hydrographique de surface peut être traversée par un ou plusieurs cours d'eau - cas des plans d'eau. Néanmoins, il est retenu qu'une seule entité hydrographique, dit cours d'eau principal du plan d'eau. Par contre, une entité hydrographique peut être traversée / contenir par un ensemble de tronçons élémentaires.

  • Lancé dans le cadre des Investissements d’avenir et doté de 80 millions d’euros, le programme « Territoire de soins numérique » vise à moderniser le système de soins en expérimentant, dans certaines zones pilotes, les services et les technologies les plus innovants en matière d’e-santé Sur les 18 projets portés par les Agences régionales de santé (ARS), 5 ont été sélectionnés pour leur caractère innovant et pérenne, leur adaptation aux réalités territoriales, leur capacité à mobiliser une majorité d’acteurs et leur impact escompté sur le développement des filières industrielles de l’e-santé. Les 5 projets retenus sont : pour la région Aquitaine : XL ENS (Landes espace numérique de santé) ; pour la région Bourgogne : E_TICSS (Territoire innovant coordonné santé social) ; pour la région Ile-de-France : TerriS@nté (« Le numérique au service de la santé en métropole du Grand-Paris ») ; pour la région Rhône-Alpes : PASCALINE (Parcours de santé coordonné et accès à l’innovation numérique) ; pour l’Océan indien : PLEXUS OI (Plateforme d’échange pour les nouveaux usages des TC en santé dans l’océan indien). Ces projets concernent directement 1,4 million d’habitants, aussi bien citadins que ruraux, et répondent directement aux enjeux identifiés dans la stratégie nationale de santé et le projet de loi de santé : ils proposent des pistes d’organisation innovantes centrées sur l’usager et renforcent la logique de parcours ; ils favorisent une meilleure coordination entre professionnels de santé, patients et aidants, grâce à une mobilisation importante des services d’appui ; ils sont soutenus par des innovations technologiques développées grâce à la coopération de nombreux acteurs, industriels, acteurs de l’offre de soins, collectivités territoriales et partenaires institutionnels. Au terme du programme, les solutions qui auront démontré leur efficacité seront généralisées. Le gouvernement soutient résolument ce programme et ses 5 projets, qui accélèreront la modernisation de notre système de soins, renforceront sa réputation d’excellence et contribueront à dynamiser et diversifier l’innovation dans le champ du numérique. Pour télécharger l’appel à projets et en savoir plus sur les investissements d’avenir

  • Le découpage hydrographique est l'ensemble des quatre partitions hiérarchisées du territoire français réalisé selon des aires hydrographiques décroissantes : - région hydrographique (1er ordre), - secteur hydrographique (2ème ordre), - sous-secteur hydrographique (3ème ordre), - zone hydrographique (4ème ordre). Un secteur est découpé suivant un maximum de 10 sous-secteurs et un sous-secteur est découpé suivant un maximum de 10 zones hydrographiques. La géométrie est proche de la BDTopo IGN qui a été utilisée pour sa réalisation.La BDCarthage Réunion est maintenue par la DEAL Réunion.La BD Carthage Réunion est une version validée par le SIE mais pas par l'IGN et que donc des problemes d'incompatibilité avec des referentiels IGN peuvent survenir (et qu'une mise à jour "officialisera" la BD Carthage avec la validation IGN).

  • Localisation des lieux de surveillance des 4 réseaux de suivi "Hydrologie et phytoplancton", "Contaminants chimiques", "Benthos de substrats durs" et "Benthos de substrats meubles" mis en oeuvre à la Réunion dans le cadre du Réseau de Contrôle de la Surveillance de la DCE appliqué aux eaux côtières.

  • Limites des 12 bassins versants associés aux masses d'eau côtières du département de La Réunion (régénérés en 2016 à partir du MNT à 5m du Coeur del'île et de litto3D (2009)).

  • Le produit SCAN 25® version 3 est une collection d'images cartographiques numériques en couleurs, obtenues par rasterisation des données servant à la réalisation des cartes de la série au 1 : 25 000. Le produit SCAN 25® version 3 se compose d'images numériques, sans habillage ni surchage, et d'indications de géoréférencement.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • Parallèlement à la mesure de l’étalement urbain année après année, cette donnée propose une qualification des espaces urbanisés identifiés selon leurs fonctions urbaines. La composante de la tache urbaine est générée à partir des données suivantes : - Tache urbaine ou tache urbaine intermédiaire (DEAL/AGORAH) - Les fichiers fonciers standard / PCI-Vecteur (DGFIP) - La BD_Route (IGN ) - La base permanente des équipements (AGORAH) - La base hydrographique (IGN) - La base d'occupation du sol agricole (DAAF) - La base du foncier économique (AGORAH) - Des PAI industriel et commercial (IGN) - Du repertoire des immeubles localisés - RIL (INSEE) Elle se scindent en 11 types d'entités : 1-Habitation : Parcelle à vocation d’habitat exclusivement. Correspond à des maisons ou immeuble, formes collectives ou individuelles ou mixte à l’échelle de la parcelle. 2-Activité commerciale : Parcelle à vocation commerciale exclusivement. Correspond aux grandes, moyennes surfaces alimentaires (super hyper marché) ou aux surfaces spécialisées (magasins de bricolage, de jardinage, automobile etc...), tissu commercial de détail hors zones d’activités (marchands de fruits et légumes, ensemble de petits commerces de proximité (coiffeur, boulangerie, tabac presse, restaurants...). 3-Autres activités : Parcelle à vocation d’activité autre que commerciale tel des activités du BTP, de production, de logistique distribution, tertiaires qualifiés localisées en zones l’activités ou dans le tissu urbain. Les banques, assureurs, agence immobilières sont également classées dans ce type. 4-Equipement : Parcelle associé à un service public tel des écoles, des gendarmeries, des parcs publics... 5-Foncier mixte : Parcelle répondant à plusieurs vocations. On y retrouve 5 formes différentes : • Mixité Habitat/Equipement, • Mixité Habitat/Autres activités, • Mixité Habitat/Commerce, • Mixité Habitat/Commerce/Equipement, • Mixité Commerce/Equipement. 6-Agricole : Parcelle généralement en bordure de tache urbaine ayant un usage agricole. 7-Domaine routier : (linéaires et espaces associés) : emprise du réseau routier, ensemble de voies de gabarits divers : routes départementales, routes nationales, chemins communaux...et ensemble des délaissés routiers associés. 8-Terrain en friche, espace divers non bâti : Ce type peut regrouper un ensemble de parcelles de configuration diverses dont la caractéristique est d’être non occupée, non bâties. Parfois des usages semblent exister : parkings sauvages ou non, espaces privés aménagés, espaces végétalisés, espaces vacants ou encore les ravines. Cette classe regroupe également les délaissés difficilement qualifiable. 9-Autre propriété publique bâtie : Parcelles publiques occupées par un ou plusieurs bâtiments utilisés ou non, patrimoine bâti public non renseigné à travers les autres catégories d’espaces identifiées. 10-Foncier bâti non renseigne : Ensemble des bâtiments appartenant à des personnes privées sans information sur leur usage à partir de notre méthode de classification. 11-Lisière urbaine non qualifiée : Correspond à des morceaux de parcelles en limite externe de l’enveloppe qui sont non bâtis et qui n’ont pas été qualifié Cette donnée n'aborde pas la notion de densité. Le terme de foncier mixte n’est pas à assimiler à la notion couramment employée de mixité urbaine. Les bases de données de référence, les fichiers fonciers standards (Cadastre DGFIP) utilisés pour ce travail, sont des données déclaratives pouvant présenter un certain décalage par rapport à la réalité. L’usage d’un bâtiment ou d’un terrain est cependant suffisamment fiable pour être utilisé.

  • Ouvrage de production électrique, équipé de groupes électrogènes, hydraulique, thermique ou photovoltaïque,pour lesquels la DAAF est intervenue en qualité d'assistance technique et/ou financière pour le compte des communes rurales.