Ce périmètre d'étude représente le territoire sur lequel il existe un réseau de livraison d'eau brute en gestion. Ce périmètre est utile au Département pour étudier les évolutions des espaces agricoles et secteurs irrigués. On peut considérer cette surface comme une zone d'observation. L'objectif de cette donnée est avant tout la protection et l'optimisation des secteurs irrigués et le suivi des évolutions de l'usage de l'eau brute départementale.
Secteurs ciblés par les études de conception pour les travaux d'extension des secteurs irrigués. Cette couche représente le territoire pour lequel une étude de conception est en cours afin de développer le service de livraison d'eau brute principalement prévu pour les besoins agricoles. Le Département d'engage à ce stade des études sur l'apport d'irrigation sur les secteurs étudiés.
Cette donnée représente l’ensemble des secteurs sur lesquels il existe un réseau de livraison d’eau brute en service et pour lesquels est étudié toute demande d’abonnement. Cette donnée est issue des contrats Département/SAPHIR concernant la maintenance et la gestion clientèle des périmètres hydro-agricoles départementaux. La limite du périmètre de service : l’épaisseur du trait sur le plan papier à l’échelle 1/32 000ème est d’environ 3mm, ce qui signifie que le contour du périmètre de service présente une imprécision d’environ 90m de part et d’autre de l’axe du trait. Toute parcelle cadastrale faisant l’objet d’une demande et située dans cette zone d’imprécision est considérée dans le périmètre seulement si elle se situe dans les limites techniques du réseau hydraulique (reconnaissance des agents de terrain).
Tracé de la Voie Vélo Régionale Type / Etat / Exploitant Longueur des tronçons. (VVR septembre 2022)
Appareil installé sur un site afin d'observer et de mesurer une grandeur spécifique lié à l'hydrologie (hauteur ou débit). Il s'agit généralement d'une échelle limnimétrique qui permet l'observation de la hauteur d'eau. Une station peut porter une hauteur et/ou un débit (directement mesurés ou calculés à partir d'une courbe de tarage). Chaque station possède un ou plusieurs capteurs (= appareil mesurant une grandeur, hauteur ou débit). Suivant leurs caractéristiques, les données mesurées (Hauteur/Débit) par ces équipements sont accessibles sur les sites internet: # HydroPortail (https://www.hydro.eaufrance.fr/) # Vigicrues (https://www.vigicrues.gouv.fr/) # Observatoire national des étiages (https://onde.eaufrance.fr/) Se reporter au dictionnaire SANDRE "Référentiel Hydrométrique" pour la définition des sites et stations hydrométriques : https://id.eaufrance.fr/ddd/hyd/2.4 Ces stations sont identifiées dans la banque hydrologique nationale, opérée par les services de l'Etat. Les propriétaires/exploitants de ces stations sont soit des services de l'Etat et collectivités soit des opérateurs privés. A ce jour l'exhaustivité des données est de l'ordre de 90%.
Un point d'eau isolé est un point d'eau non susceptible d'être relié au réseau hydrographique ; il s'agit des objets suivants, situés sur le territoire national : - réservoirs et châteaux d'eau ; - stations de pompage et de traitement des eaux. Un point d'eau isolé est localisé par un sommet géométrique.
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
Le schéma d'aménagement et de gestion de l'eau (SAGE) est un outil de planification, institué par la loi sur l'eau de 1992, visant la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau. Déclinaison du SDAGE à une échelle plus locale, il vise à concilier la satisfaction et le développement des différents usages (eau potable, industrie, agriculture, ...) et la protection des milieux aquatiques, en tenant compte des spécificités d'un territoire. Délimité selon des critères naturels, il concerne un bassin * versant hydrographique ou une nappe. Il repose sur une démarche volontaire de concertation avec les acteurs locaux. Il est un instrument essentiel de la mise en oeuvre de la directive cadre sur l'eau (DCE). A ce titre, 68 SAGE ont été identifiés comme nécessaires par les SDAGE approuvés en 2009 (période 2010-2015) et 62 SAGE ont été identifiés comme nécessaires par les SDAGE approuvés en 2015 (période 2016-2021) pour respecter les orientations fondamentales et les objectifs fixés par la DCE.
Depuis 2002, la cartographie des « milieux naturels remarquables » a sans cesse évolué sous l'impulsion de la Mission Parc national puis du Parc national. Cette amélioration s'est faite en quatre étapes : 2002-2005 : Mission Parc national ; pour élaborer son projet de Parc National elle avait demandé en 2001 et 2002 aux principaux experts de la végétation de l’île de La Réunion (Université, CBNM, SREPEN, Joël DUPONT, ONF), d’élaborer une carte de ces végétations et une analyse de leur valeur patrimoniale. Deux cartes principales sont issus de ces travaux : les milieux vulnérables (CBNM) et les milieux remarquables (Université) toutes deux réalisées à partir des ZNIEFF. 2006 : Synthèse et complètement pour réaliser une cartographie pour l'enquête publique du Parc national 2007-2010 : Parc national de La Réunion ; la cartographie des milieux naturels et des milieux transformés par la sylviculture a évolué régulièrement avec des mises à jour, et aussi avec l’apport de quelques études. La première est celle de la forêt semi-sèche sur la Grande Chaloupe, stage réalisé par Olivier Tesseydre en 2007. Le milieu naturel « 6 = Savane à latanier » a été revu en « Système de végétation semi-sèche de basse altitude (dans fourrés secs anthropiques) ». Puis il y a celles sur la Pandanaie (projet d'APPB + CBNM 2010 : Les zones humides de La Réunion, caractérisation phytosociologique, focus sur les pandanaies de la Plaine-des-Palmistes + …), sur la Savane Cimetière (PNRun), sur les zones humides (DIREN + ), pour le LIFE+ CONEXERUN (PNRun) … Il y a aussi une mise en cohérence avec les relevés de végétation des plan de gestion de l'ONF … Les types, sous-types et macrohabitat ont été améliorés et affinés. 2011-2012 : Corrections mineures à l'aide d'études du Parc national, des plans de gestion de l'ONF et d'avis d'experts.
Un nœud hydrographique correspond à une modification de l'écoulement de l'eau. Il est toujours localisé à l’extrémité d’un tronçon hydrographique élémentaire. La classe des nœuds hydrographiques gérée par l'IGN comprend : - les confluences, diffluences, sources, embouchures et pertes de cours d'eau ; - les barrages de retenue ; - les barrages au fil de l'eau ; - les écluses (pour le passage ou le radoub) ; - les sources et les cascades d'intérêt touristique. Un nœud hydrographique est localisé par un sommet géométrique. Certains noeuds correspondent à un exutoire d'une zone hydrographique.