Prix du foncier au m² en 2012 par marie annexe
Le produit FranceRaster® 2.0 est une collection pyramidale (emboîtement d'échelles prédéfinies) d'images cartographiques numériques en couleurs, obtenues par rasterisation de données vecteurs éditées par l'IGN : BD ADRESSE®, BD TOPO®, BD CARTO®, ROUTE 500® et ROUTE 120® et BD ALTI®. Cette pyramide d'images couvre l'ensemble du territoire français métropolitain de l'échelle 1 : 4 000 000 à l'échelle 1 : 2 500 en 11 paliers. Elle couvre les DOM du 1 : 200 000 au 1 : 2 500. Le produit FranceRaster® se compose d'images numériques et d'indications de géoréférencement. .
La station de mesure est le lieu situé sur une entité hydrographique (cours d'eau, lacs, canaux...), sur laquelle sont effectuées des mesures ou des prélèvements en vue d'analyses physico-chimiques, microbiologiques..., afin de déterminer la qualité des milieux aquatiques à cet endroit. Il s'agit d'un volume dans lequel il est possible de faire des mesures en différents points réputés cohérents et représentatifs de la station. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et les Offices de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
Un point d'eau isolé est un point d'eau non susceptible d'être relié au réseau hydrographique ; il s'agit des objets suivants, situés sur le territoire national : - réservoirs et châteaux d'eau ; - stations de pompage et de traitement des eaux. Un point d'eau isolé est localisé par un sommet géométrique.
Un nœud hydrographique correspond à une modification de l'écoulement de l'eau. Il est toujours localisé à l’extrémité d’un tronçon hydrographique élémentaire. La classe des nœuds hydrographiques gérée par l'IGN comprend : - les confluences, diffluences, sources, embouchures et pertes de cours d'eau ; - les barrages de retenue ; - les barrages au fil de l'eau ; - les écluses (pour le passage ou le radoub) ; - les sources et les cascades d'intérêt touristique. Un nœud hydrographique est localisé par un sommet géométrique. Certains noeuds correspondent à un exutoire d'une zone hydrographique.
Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.
Le produit FranceRaster® 2.0 est une collection pyramidale (emboîtement d'échelles prédéfinies) d'images cartographiques numériques en couleurs, obtenues par rasterisation de données vecteurs éditées par l'IGN : BD ADRESSE®, BD TOPO®, BD CARTO®, ROUTE 500® et ROUTE 120® et BD ALTI®. Cette pyramide d'images couvre l'ensemble du territoire français métropolitain de l'échelle 1 : 4 000 000 à l'échelle 1 : 2 500 en 11 paliers. Elle couvre les DOM du 1 : 200 000 au 1 : 2 500. Le produit FranceRaster® se compose d'images numériques et d'indications de géoréférencement. .
Les différentes aménités, commodités, accessibilités et les paramètres susceptibles d'avoir un poids dans le potentiel attractif de la zone sont répertoriés dans la zone de 120 mètres au-dessus des laisses de basses mers. Certaines des couches proposées ici ont été créées dans le cadre de la thèse d'Anne Lemahieu, d'autres avaient été créées avant, mais ont pu être mises à jour à cette occasion.
Depuis 2002, la cartographie des « milieux naturels remarquables » a sans cesse évolué sous l'impulsion de la Mission Parc national puis du Parc national. Cette amélioration s'est faite en quatre étapes : 2002-2005 : Mission Parc national ; pour élaborer son projet de Parc National elle avait demandé en 2001 et 2002 aux principaux experts de la végétation de l’île de La Réunion (Université, CBNM, SREPEN, Joël DUPONT, ONF), d’élaborer une carte de ces végétations et une analyse de leur valeur patrimoniale. Deux cartes principales sont issus de ces travaux : les milieux vulnérables (CBNM) et les milieux remarquables (Université) toutes deux réalisées à partir des ZNIEFF. 2006 : Synthèse et complètement pour réaliser une cartographie pour l'enquête publique du Parc national 2007-2010 : Parc national de La Réunion ; la cartographie des milieux naturels et des milieux transformés par la sylviculture a évolué régulièrement avec des mises à jour, et aussi avec l’apport de quelques études. La première est celle de la forêt semi-sèche sur la Grande Chaloupe, stage réalisé par Olivier Tesseydre en 2007. Le milieu naturel « 6 = Savane à latanier » a été revu en « Système de végétation semi-sèche de basse altitude (dans fourrés secs anthropiques) ». Puis il y a celles sur la Pandanaie (projet d'APPB + CBNM 2010 : Les zones humides de La Réunion, caractérisation phytosociologique, focus sur les pandanaies de la Plaine-des-Palmistes + …), sur la Savane Cimetière (PNRun), sur les zones humides (DIREN + ), pour le LIFE+ CONEXERUN (PNRun) … Il y a aussi une mise en cohérence avec les relevés de végétation des plan de gestion de l'ONF … Les types, sous-types et macrohabitat ont été améliorés et affinés. 2011-2012 : Corrections mineures à l'aide d'études du Parc national, des plans de gestion de l'ONF et d'avis d'experts.
A un polygone élémentaire correspond une pile (ou un empilement) caractéristique d’entités hydrogéologiques. D'après Sandre, dictionnaire du référentiel hydrogéologique SAQ version 2.2