Assemblage des plans des Pas Géométriques de la Réunion, datant du 19ième siècle. Les Pas Géométriques désignent une bande littorale d’une largeur de 50 pas, environ 80 mètres, calculée à partir de la ligne de plus haute marée. Les plans représentent cette bande littorale entre la côte et la limite des 50 Pas. Avertissement : En dépit des efforts et diligences mis en œuvre pour en vérifier la fiabilité, la DEAL de La Réunion n’est pas en mesure de garantir l’exactitude, l’intégrité, l’exhaustivité des données et en particulier qu’elles sont exemptes d’erreurs, notamment de localisation, ou d’imprécisions. Ces données mises à disposition ne pourront en aucun cas constituer des documents opposables sans avoir été complétés et documentés juridiquement afin de vérifier notamment si la limite qui y est représentée est toujours valide.
La mise en oeuvre d’un Inventaire Permanent du Littoral (IPLI) a été décidée en 1977 dans le cadre d’un Comité interministériel d’aménagement du territoire. Dans sa version suivante (IPLI 82), la légende des cartes d’usage des sols a été substantiellement modifiée afin de pouvoir appréhender de manière plus détaillée les évolutions des phénomènes urbains et touristiques (17 postes). Afin de permettre d’appréhender, à l’échelle nationale, les changements essentiels intervenus sur l’espace littoral depuis la mise en oeuvre de la « loi littoral » de 1986, le ministère de l’Equipement a demandé au Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement (CETE) Normandie Centre d’engager la numérisation des cartes d’usage du sol IPLI 77 et de constituer une base de données structurées utilisable par des Systèmes d’information géographique (SIG). Cette couche est temporairement hébergée sur sextant. Elle sera bientôt accessible sur le serveur de la DEAL Réunion à travers l’outil de cartographie dynamique CARMEN.
Routes nationales de la Réunion. Cette couche est temporairement hébergée sur sextant. Elle sera bientôt accessible sur le serveur de la DEAL Réunion à travers l’outil de cartographie dynamique CARMEN.
Il s'agit de clichés en noir et blanc datant de 1950. Les prises de vue recouvrent l’intégralité de la Réunion (littoral et intérieur de l'île). Actuellement, seule une partie de l'île a été traitée, de St-Denis à St-Philippe (partie Ouest - Sud Ouest de l'île).
Cette étude réalisée au cours d'un stage de Master 2 (Marie PATRY, Université de La Rochelle) au sein du CEDTM (Léo PAIRAIN) et co-encadrée par Kelonia (Claire JEAN) et la SEOR (Martin RIETHMULLER) s'inscrit dans le cadre d'un financement européen de type FEDER concernant un projet intitulé "VELOUTIER" (Valorisation des Espaces Littoraux de l'Ouest réunionnais pour la ponte des Tortues marines : Impliquer, Éduquer, Réhabiliter). Il vise à mettre en oeuvre un ensemble d'actions concrètes de conservation sur 4 plages de la côte ouest réunionnaise (plages de Cap Champagne, du Cimetière Saint Leu, de la Souris Chaude et de la Ravine Mulla) afin de rétablir et maintenir le rôle fonctionnel des plages pour la reproduction des tortues marines. L'objectif est d'établir un diagnostic sur la répartition spatiale des nuisances lumineuses et les caractériser (intensité d’éclairement, couleur, orientation principalement) sur les plages de sable de l’Ouest de La Réunion (depuis la baie de Saint-Paul à la plage de Grande Anse). Ainsi les données acquises par Kélonia en 2011 peuvent être actualisées.
Dans le cadre de la DCE (Directive Cadre sur l'Eau), pour les masses d'eau n'ayant pas atteint le "bon état écologique", un RCE (Réseau de Contrôle d'Enquête) doit être mis en place pour faire le lien entre pression et état écologique. A La Réunion, le RCE en 2019 a été piloté et coordonné par l'UMR Entropie. Le volet "pressions" des bassins versants a été confié au GIE Marex qui a produit cette couche de synthèse.
La pollution lumineuse est un des facteurs qui a un impact non négligeable sur le taux de survie des nouveau-nés et sur le choix d’un site de ponte par les femelles chez la plupart des espèces de tortues marines. En effet, lors de l’éclosion, les nouveau-nés se dirigent vers la mer à l’aide du reflet de la lumière du soleil ou de la lune ou des étoiles sur l’eau. Les jeunes se précipitent donc, en majorité, vers le point le plus lumineux. En ce qui concerne les femelles, ces dernières viennent pondre pendant la nuit et ne doivent pas être dérangées et se cacher des prédateurs pendant les quelques heures qu’elles passeront sur le sable pour pondre. Les éclairages publics et privés représentent donc une gêne pour elles. Si l’endroit ne leur convient pas à cause des lumières ou autres facteurs anthropiques, elles remettront à plus tard leur ponte. Cependant, si elles n’arrivent pas à trouver un lieu adéquat, elles rejetteront les oeufs à la mer. Une première étude de la pollution lumineuse a été réalisée par Kelonia en 2011 afin de mesurer l'intensité lumineuse et d'évaluer la pollution générée sur les plages sableuses de l'île. Ce protocole, arpès réajustements (fréquence d'échantillonnage, paramètres associés), a été mis en œuvre en 2020 par le CEDTM.
Cette étude a été réalisée au cours d'un stage de Licence 2 (Erwan Broussy et Léona Guilletat, Université Paul Sabatier, Toulouse) supervisé par Kelonia (Claire Jean) en 2011 sur financement propre. L'objectif de suivre la pollution lumineuse est d'établir un diagnostic sur la répartition spatiale des nuisances lumineuses et les caractériser (intensité d’éclairement, couleur) sur les plages de sable de l’Ouest de La Réunion (depuis la baie de Saint-Paul à la plage de Grand' Anse) dans un contexte problématique pour la ponte des tortues marines. Cette étude permet de disposer d'un état initial, ayant été actualisé en 2020 par le CEDTM.