Entre 2009 et 2010, à l'occasion des campagnes Litto3D (SHOM/IGN) à La Réunion, un capteur hyperspectral HySpex VNIR-1600 a permis de couvrir l'ensemble des 4 plus grandes zones récifales de la côte ouest de l'île. Dans le cadre de deux projet associant la DEAL, l'Aamp, les Taaf et l'ifremer (SPECTRHABENT) et l'ONEMA et l'Ifremer (BIOINDICATION) différents produits cartographiques adaptés aux écosytèmes coralliens de La Réunion ont pu être proposés.
La caractérisation des résurgences d'eaux souterraines dans les plateformes récifales peut être mise en évidence par la recherche de variation de température. En effet les platiers de La Réunion sont peu profonds et la température de l'eau de mer y est plus importante que l'eau douce provenant des eaux souterraines. Ainsi la cartographie exhaustive des résurgences de La Réunion est issue d'une combinaison de techniques in situ, (mesures de salinité et de température) et de cartographie aérienne infrarouge à partir d'un hélicoptère. Ces données ont été acquises dans le cadre du projet Eutrolag mis en oeuvre par l'ARVAM et ses partenaires (IUEM, etc.) sous couvert d'un contrat de prestation passé par l'Ifremer. Le projet Eutrolag est une des actions du projet Bioindication (financé par Ifremer et ONEMA).
Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique Lidar Litto 3D de l'île de La Réunion (projets de cartographie des habitats / géomorpholgie sous-marins / IoT) avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Le MNT Lidar produit dans le cadre de Litto3D® a été acquis en 2009-2010 (images haute altitude).
Ces images des fonds marins sont issues de la correction des effets de surface de l'eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Plusieurs projets spécifiques ont ensuite permis d'appliquer / adapter ces développements aux différentes sous-secteurs géographiques. Le traitement de ces données hyperspectrales a permis de générer une image multispectrale à 4 bandes (Rouge/Vert/Bleu/Proche Infra-rouge), améliorant la compréhension et l’interprétation de certaines zones peu évidentes (ombres, nuages, artéfacts liés à la surface de l’eau, profondeur, etc.). La correction des effets de surface, permet une meilleure perception du fond dans les plus grandes profondeurs par rapport à la donnée hyperspectrale brute.
Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique des mangroves de l'île d'Europa, issu du traitement des données hyperspectrales avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Les images hyperspectrales acquises en 2009 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM).
MNT Bathymétrique des plateformes récifales et/ou des zones de mangroves, issus de plusieurs sources de données, principalement le MNT Litto3D, complété localement de données externes (images hyperspectrales, autres campagnes bathymétriques, etc.).
Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique Lidar Litto 3D des îles d'Europa (projet PIoT), Tromelin, Bassas de India, Glorieuses, Juan de Nova, Geyser et Zélée (projet IoT) avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Le MNT Lidar produit dans le cadre de Litto3D® a été acquis en 2009-2010 (images haute altitude). Le projet pIoTest co-financé par le Consortium Iles Éparses et les Terres Australes et Antartiques Françaises. Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM). Le projet IoT est co-financé par le FEDER-INTERREG V OI, l'Etat, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, Terres Australes et Antartiques Françaises, Conseil Départemental de Mayotte,Parc Naturel Marin de Mayotte, association Oulanga Na Nyamba de Mayotte et Seychelles Islands Foundation).
Ces images des fonds marins sont issues de la correction de la colonne d’eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Le traitement de ces images a permis de générer une composition colorée Rouge/Vert/Bleu telle qu’elle serait après retrait théorique de la colonne d’eau.
Ces images des fonds marins sont issues de la correction de la colonne d’eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Le traitement en 2019 et 2020 de ces images dans le cadre des projets pIoT et IoT ((pilot) project for Indian Ocean sea Turtles) a permis de générer une composition colorée Rouge/Vert/Bleu telle qu’elle serait après retrait théorique de la colonne d’eau. Sur Glorieuses, ces traitements reprennent le travail initié dans le cadre du projet COPRA sur la Cartographie des herbiers à Thalassodendron (AFB / Marex). Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM). Le projet IoT est co-financé par le FEDER-INTERREG V OI, l'Etat, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, Terres Australes et Antartiques Françaises, Conseil Départemental de Mayotte,Parc Naturel Marin de Mayotte, association Oulanga Na Nyamba de Mayotte et Seychelles Islands Foundation).
Des indices topographiques liés aux reliefs des fonds ont pu être extraits de la bathymétrie sur les récifs. Le produit des 3 indices topographiques IPM (Indice de rugosité), IPV (Indice de variance du relief) et ICM (Idice de concavité) pour le calcul de l’ITT (Indice Tortues Topographique), permet de ne conserver que les zones où toutes les valeurs sont fortes, masquant les secteurs où au moins l’un des facteurs se rapproche de zéro. Il faut que les trois paramètres (pente, variance de pente et concavité) soient proches de leur optimal pour que les conditions soient considérées comme favorables à la présence des tortues. Cette hypothèse a été émise à partir de l’analyse des données sur La Réunion (programme CHARC), elle pourra être ou non confirmée par la suite lors de l’analyse des données de localisation des tortues.