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  • Une réserve biologique est un espace protégé en milieu forestier ou en milieu associé à la forêt (landes, mares, tourbières, dunes). Ce statut s’applique aux forêts gérées par l’Office National des Forêts et a pour but la protection d’habitats remarquables ou représentatifs. Les réserves biologiques font partie des espaces relevant prioritairement de la Stratégie de Création d’Aires Protégées mise en place actuellement. Selon les habitats et les orientations de gestion, on distingue les réserves biologiques dirigées, où est mise en place une gestion conservatoire (relevant de la catégorie IV de l’UICN) et les réserves biologiques intégrales où la forêt est laissée en libre évolution (pouvant relever de la catégorie Ia de l’UICN).

  • Polygones de localisation globale des gisements de bois sur pied

  • Alerte à la pollution atmosphérique déclenchée à partir des mesures issues du réseau fixe des mesures européennes des principaux polluants réglementés dans l'air sur la région Réunion : dioxyde de soufre SO2, dioxyde d'azote NO2, fines particules en suspension PM10 et ozone O3. Toutes les données fournies sont en μg/m³ (microgramme par mètre cube).

  • Les réserves naturelles sont des espaces protégés terrestres ou marins dont le patrimoine naturel est exceptionnel, tant sur le plan de la biodiversité que parfois sur celui de la géodiversité. Qu'elles soient créées par l'État (réserves nationales), par la collectivité territoriale de Corse (réserves de Corse) ou par les régions (réserves régionales, depuis la loi Démocratie de proximité de 2002 qui a donné compétence aux régions pour administrer les ex-réserves volontaires et pour créer de nouvelles réserves régionales), ce sont des espaces qui relèvent prioritairement de la Stratégie de Création d'Aires Protégées mise en place actuellement. Les réserves naturelles bénéficient d'un plan de gestion et se classent essentiellement en catégories III(réserves géologiques) ou IV de l'UICN. Si certaines parties de réserves naturelles (en particulier marines ou forestières) peuvent revendiquer les catégories UICN Ia ou Ib, il n'existait pas à la fin 2009 de réserve naturelle intégrale sur la totalité de sa superficie.

  • Parcelles cadastrales privées présélectionnées pouvant accueillir un aménagement en vue d'une ligniculture

  • Position de la plateforme de l'ACCC

  • Les sites du conservatoire du littoral ont pour vocation la sauvegarde des espaces côtiers et lacustres. Leur accès au public est encouragé mais reste défini dans des limites compatibles avec la vulnérabilité de chaque site. En complément de sa politique foncière, visant prioritairement les sites de fort intérêt écologique et paysager, le conservatoire du littoral peut depuis 2002 exercer son action sur le domaine public maritime. Ce mode de protection peut être superposé avec d’autres dispositifs réglementaires ou contractuels.

  • Dans le cadre des actions de surveillance du milieu récifal soutenues par l'OSU-Réunion et inscrite au Plan de Gestion de la RNMR (programme OT-RUN), une station d'observation de différents paramètres physico-chimiques de l'eau de mer (pH,CO2, température, Salinité) a été mise en place sur le récif de La Saline. L'objectif est d'enregistrer sur le long terme l'évolution de ces paramètres, affectés par le changement global, et d'observer la réponse de l'écosystème à leur variations temporelles.

  • Concentrations moyennes journalières issues du réseau fixe des mesures européennes des principaux polluants réglementés dans l'air sur la région Réunion : dioxyde de soufre SO2, dioxyde d'azote NO2, oxydes d'azote (NOx), fines particules en suspension PM10, fines particules en suspension PM2.5, ozone O3 et monoxyde de carbone CO. Toutes les données fournies sont en μg/m³ (microgramme par mètre cube) sauf pour le CO (mg/m³).

  • Un site Ramsar est un espace désigné en application de la Convention relative aux zones humides d'importance internationale, particulièrement comme habitats des oiseaux d'eau, dont le traité a été signé en 1971 sur les bords de la mer Caspienne (Iran). Son entrée en vigueur date de 1975, la ratification par la France de 1986. L'inscription à la liste mondiale des sites Ramsar suppose que le site réponde à un ou plusieurs critères démontrant son importance internationale