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  • Les données acquises entre 2003 et 2011 par balise Argos, ont été analysées pour sortir 2 localisations par jour. Le nombre de localisations de Tortues vertes balisées à Europa est agrégé par carré de 1° de côté. Ce mode de calcul est celui choisi dans le cadre du projet Mégafaune pour toutes les populations (une espèce, un lieu) étudiées afin de permettre l'inter-comparaison. Ces suivis post-reproduction ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Cette représentation graphique illustre les couloirs migratoires des tortues vertes en migration post-reproductive depuis les principaux sites de ponte du Sud-Ouest de l'océan Indien. Elle se base sur 77 trajets de tortues vertes acquis entre 1998 et 2012 à partir des sites de pontes Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Le modèle utilisé pour extrapoler les données est une approche MKDE. Pour plus de renseignements sur la méthode, voir Bourjea et al. 2013. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projet "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées d'une balise Argos après leur reproduction. On regarde ici la migration des tortues en fonction du site de départ (lieu où la balise Argos à été posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées de balises Argos après leur reproduction. Les balises ont été déployées entre 1998 et 2011. On regarde ici la migration des tortues en fonction de la période pendant laquelle une balise Argos a été déployée sur les tortues : durant le pic de ponte ou en dehors, et ce quelque soit le site de départ (lieu où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes balisées après leur reproduction. On regarde ici la relation entre site final de migration et la présence d'une AMP, et ce quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • Cette couche a été constituée dans le cadre du PNA - Tortue (Plan National d'Action, 2013), par jointure spatiale entre la couche des ZEE (Zones Économiques Exclusives) des pays du Sud-Ouest de l'océan Indien, et celle des trajets migratoires des tortues vertes après reproduction quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont été réalisés dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction de la colonne d’eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Le traitement en 2019 et 2020 de ces images dans le cadre des projets pIoT et IoT ((pilot) project for Indian Ocean sea Turtles) a permis de générer une composition colorée Rouge/Vert/Bleu telle qu’elle serait après retrait théorique de la colonne d’eau. Sur Glorieuses, ces traitements reprennent le travail initié dans le cadre du projet COPRA sur la Cartographie des herbiers à Thalassodendron (AFB / Marex). Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM). Le projet IoT est co-financé par le FEDER-INTERREG V OI, l'Etat, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, Terres Australes et Antartiques Françaises, Conseil Départemental de Mayotte,Parc Naturel Marin de Mayotte, association Oulanga Na Nyamba de Mayotte et Seychelles Islands Foundation).

  • Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique des mangroves de l'île d'Europa, issu du traitement des données hyperspectrales avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Les images hyperspectrales acquises en 2009 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM).

  • Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique Lidar Litto 3D des îles d'Europa (projet PIoT), Tromelin, Bassas de India, Glorieuses, Juan de Nova, Geyser et Zélée (projet IoT) avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Le MNT Lidar produit dans le cadre de Litto3D® a été acquis en 2009-2010 (images haute altitude). Le projet pIoTest co-financé par le Consortium Iles Éparses et les Terres Australes et Antartiques Françaises. Le projet pIoT est co-financé par le Consortium Iles Éparses2017-2020, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, KELONIA et CEDTM). Le projet IoT est co-financé par le FEDER-INTERREG V OI, l'Etat, l'Ifremer (porteur) et ses partenaires (CNRS-LIRMM, Terres Australes et Antartiques Françaises, Conseil Départemental de Mayotte,Parc Naturel Marin de Mayotte, association Oulanga Na Nyamba de Mayotte et Seychelles Islands Foundation).