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  • Les données acquises entre 1998 et 2012 par balise Argos, ont été analysées pour sortir 2 localisations par jour. Le nombre de localisations de Tortues vertes balisées à Mayotte est agrégé par carré de 1° de côté. Ce mode de calcul est celui choisi dans le cadre du projet Mégafaune pour toutes les populations (une espèce, un lieu) étudiées afin de permettre l'inter-comparaison. Ces suivis post-reproduction ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • SACROIS est un algorithme de croisement de données qui produit des séries de données d’activité de la pêche professionnelle (données de production et d’effort validées, consolidées et qualifiées) pour les navires inscrits au fichier Flotte de Pêche Communautaire (FPC). SACROIS sélectionne le meilleur parti des sources d’informations disponibles pour produire les données d’activité de pêche de référence. SACROIS consiste en une application opérationnelle de rapprochement, vérification et contrôles de cohérence de différents flux unitaires de données. L’algorithme SACROIS ne corrige pas la donnée, il a pour objectif de : - fournir la meilleure estimation possible des différents éléments constituant une marée à partir des sources de données disponibles, - identifier les incomplétudes des différentes sources de données et en proposer une synthèse complétée par des indicateurs de qualification de la donnée issus des croisements. Ainsi l’algorithme SACROIS produit deux fois par mois une nouvelle source de données ; synthèse de l’ensemble des sources de données disponibles : les marées SACROIS reconstituées. Les données SACROIS ont été calculées depuis 2000 pour toutes les flottilles pour lesquelles des données sont disponibles : - Mer du Nord – Manche – Atlantique (hors senneurs tropicaux), - Méditerranée (hors senneurs à thons rouges), - DOM (La Réunion, Mayotte, Guyane et Antilles).

  • Les calendriers d'activité des navires de pêche reconstitués chaque année permettent d'accéder aux données mensuelles suivantes : port d'exploitation principal, nombre de personnes embarquées, nombre de jours de mer et de pêche, métier(s) pratiqué(s), zones de pêches exploitées et leur gradient d'éloignement à la côte. Les données annuelles de dimension et de maillage des engins utilisés pour pratiquer un métier sont également fournies.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes balisées après leur reproduction. On regarde ici la relation entre site final de migration et la présence d'une AMP, et ce quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.

  • Cette représentation graphique illustre les couloirs migratoires des tortues vertes en migration post-reproductive depuis les principaux sites de ponte du Sud-Ouest de l'océan Indien. Elle se base sur 77 trajets de tortues vertes acquis entre 1998 et 2012 à partir des sites de pontes Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Le modèle utilisé pour extrapoler les données est une approche MKDE. Pour plus de renseignements sur la méthode, voir Bourjea et al. 2013. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projet "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées d'une balise Argos après leur reproduction. On regarde ici la migration des tortues en fonction du site de départ (lieu où la balise Argos à été posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.

  • Ces données renseignent les caractéristiques des armateurs et des navires : immatriculation, année de construction, matériau, longueur, port, lieu d'immatriculation, appartenance au fichier FPC, jauge, puissance.

  • Données disponibles dans Surval Océan Indien concernant les suivis du groupe de paramètres BENTHOS DE SUBTRATS DURS – BELT POISSON effectués à La Réunion, à Mayotte et dans les Iles Eparses, dont les données sont bancarisées dans Quadrige. Les données sont mises à jour quotidiennement de façon automatique. L'outil étant évolutif, des paramètres pourront être ajoutés autant que de besoin et dans les limites des possibilités de l'outil. Un lieu d'observation dans Quadrige est un lieu géographique où il est prévu de faire des observations, des mesures et/ou des prélèvements. Il est localisé de façon unique par son emprise cartographique (polygone, ligne ou point). Un lieu de mesure peut être utilisé par plusieurs programmes.

  • MNT Bathymétrique des plateformes récifales et/ou des zones de mangroves, issus de plusieurs sources de données, principalement le MNT Litto3D, complété localement de données externes (images hyperspectrales, autres campagnes bathymétriques, etc.).

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction des effets de surface de l'eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Plusieurs projets spécifiques ont ensuite permis d'appliquer / adapter ces développements aux différentes sous-secteurs géographiques. Le traitement de ces données hyperspectrales a permis de générer une image multispectrale à 4 bandes (Rouge/Vert/Bleu/Proche Infra-rouge), améliorant la compréhension et l’interprétation de certaines zones peu évidentes (ombres, nuages, artéfacts liés à la surface de l’eau, profondeur, etc.). La correction des effets de surface, permet une meilleure perception du fond dans les plus grandes profondeurs par rapport à la donnée hyperspectrale brute.