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  • Découpage de la RNMR en 168 zones homogènes du point de vue géomorphologique (Cote, Dépression d'Arrière Récif (DAR), Platier, Pente externe), réglementaire (niveaux de protection 1, 2A, 2B et 3) et des usages (pêches, navigation, loisir). Les côtes (hors périmètre de la RNMR) ont été représentées car concernées par certains usages de loisir (pêche du bord, plage-baignade, etc.). Le zonage est calé sur les balises réglementaires de la RNMR. La mise à jour 2020 du zonage intègre les modifications de zones de pêche listées dans l'Arreté prefectoral n°3416 du 31/10/2019, portant sur la règlementation des pêches traditionnelles. Les informations attributaires permettent de localiser précisément (et en fonction de la réglementation) les usages pratiqués dans le périmètre de la RNMR : pêches traditionnelles, de loisirs et professionnelles, inventaires réalisés par ULM et à terme les suivis biologiques des ressources. La surface totale couverte par la RNMR représente 3 550 ha. - La pêche professionnelle est autorisée dans plus de 80 % de la réserve marine, à l'exception des zones comprises entre les fronts récifaux à la limite des eaux, ici appelés "lagons" et des zones sanctuarisées. - La pêche traditionnelle est autorisée sur près de 50% des "lagons". - La pêche de loisir à la ligne est ouverte sur 57 % du linéaire depuis les côtes rocheuses (sauf zone surplombant un récif corallien autre qu'un banc récifal) et les plages de sables noirs. - La chasse sous marine est autorisée dans 43% de la surface (hors "lagons", zones de protections renforcées et sanctuarisées).

  • L'objectif de cette couche est de regrouper toutes les stations faisant l'objet d'un suivi régulier par la Réserve et pour lesquelles il existe des données (suivi poissons et/ou corallien).

  • Les différentes aménités, commodités, accessibilités et les paramètres susceptibles d'avoir un poids dans le potentiel attractif de la zone sont répertoriés dans la zone de 120 mètres au-dessus des laisses de basses mers. Certaines des couches proposées ici ont été créées dans le cadre de la thèse d'Anne Lemahieu, d'autres avaient été créées avant, mais ont pu être mises à jour à cette occasion.

  • Des survols aériens en ULM ont été réalisés (164) entre 2010 et 2013 dans un objectif d'évaluer la fréquentation des usagers au sein de la Réserve. Ces vols ont pu être réalisés sous différentes strates temporelles (saison, heure, vacances/hors vacances, semaine, week-end, etc.) afin d'identifier les pics de fréquentations. Des photographies instantannées sont réalisées depuis l'ULM, les usagers sont ensuites comptés et distingués en fonction du type d'activité pratiquée en fonction de zones.