Description du réseau électrique concédé à EDF sur le territoire de la Réunion, comprenant notamment le tracé des lignes électriques en moyenne et basse tension avec les postes et armoires électriques.
route_dist_alti_100m_2011 renseigne sur l'altitude et la distance au trait de côte des routes dans une bande de 100m de large sur les 4 communes d'étude en 2011 : Saint-Denis, Le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre. Pour chaque tronçon est ensuite défini un degré d'exposition, en fonction de l'altitude, de la distance au trait de côte.
route_1950 représente le réseau routier dans une bande côtière d'environ 100 m des 4 communes d'étude de la Réunion : Saint-Denis, le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre. Cette donnée a également été créée pour 1978.
route_dist_alti_100m_1978 renseigne sur l'altitude et la distance au trait de côte des routes dans une bande de 100m de large sur les 4 communes d'étude en 1978 : Saint-Denis, Le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre. Pour chaque tronçon est ensuite défini un degré d'exposition, en fonction de l'altitude, de la distance au trait de côte.
route_dist_alti_100m_1950 renseigne sur l'altitude et la distance au trait de côte des routes dans une bande de 100m de large sur les 4 communes d'étude en 1950 : Saint-Denis, Le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre. Pour chaque tronçon est ensuite défini un degré d'exposition, en fonction de l'altitude, de la distance au trait de côte.
Lignes de haute tension
Ouvrage de production électrique, équipé de groupes électrogènes, hydraulique, thermique ou photovoltaïque,pour lesquels la DAAF est intervenue en qualité d'assistance technique et/ou financière pour le compte des communes rurales.
Ce jeu de données liste les images acquises par l’équipe PIMANT (Plateforme d’Imagerie Aéroportée Numérique des Territoire) du Pôle Information Géographique de la Région Réunion. La plateforme PIMANT permet d’acquérir, de produire et de distribuer des images ariennes à très haute résolution spatiale à partir d’ULM et de drone au service de l’aménagement et du développement du territoire. Ces images, une fois traitées, produisent des données orthorectifiées tels que des orthophotos (VIS et/ou PIR) et des produits associés d’élévation (MNS, MNE). Contacts : pimant@cr-reunion.fr Ce projet est cofinancé par l’Union Européenne dans le cadre du PO Feder 2014-2020 au titre du dispositif d’aide 1.04 « Améliorer les compétences au service de l’économie de la connaissance ». OPERATION SYNERGIE RE0001805
Ouvrages extraits de la Banque nationale des prélèvements quantitatifs en eau (BNPE). Il ne s'agit donc pas d'un jeu de données exhaustif des ouvrages de prélèvement. Un ouvrage de prélèvement désigne un ensemble de dispositifs techniques de captage, de stockage et de canalisation d’eau, provenant d’une ressource et à destination d’un usage principal. Un ouvrage de prélèvement correspond généralement à un système anthropique, c'est-à-dire, issu d’une activité humaine, élaboré et entretenu par l’homme, en vue de réaliser des prélèvements d’eau de quantité non négligeable. Un ouvrage de prélèvement est connecté à une seule ressource en eau, par l’intermédiaire d’un ou plusieurs points de prélèvement géographiquement individualisés, lorsque ces derniers sont connus et bien identifiés. Un point de prélèvement matérialise un point de connexion physique entre la ressource en eau et un dispositif technique de captage d’eau se rapportant à l’ouvrage de prélèvement en question. Un ouvrage de prélèvement DOIT être déterminé de manière à obtenir au mieux le volume global prélevé sur la ressource. Il PEUT être composé de plusieurs points de prélèvement dès lors qu’il existe autant de dispositifs techniques de captage d’eau connectés à la même ressource à des endroits différents, les eaux captées au niveau de ces points étant généralement mélangées en amont ou en aval du ou des dispositifs de comptage (compteurs d’eau), contribuant à l’obtention du volume global prélevé sur la ressource, ceci à l’échelle de l’ouvrage de prélèvement. Les eaux captées par chacun de ces points proviennent obligatoirement de la même ressource. Le périmètre relatif à un ouvrage de prélèvement DOIT être déterminé indépendamment du mode de distribution de l’eau prélevé et réalisé en aval de l’ouvrage de prélèvement, vers des milieux récepteurs et des usages différents (parcelles culturales pour irrigation, files ou unités de traitement d’eau potable, unités de process industriels, ressource en eau réceptrice, château d’eau,…) L’exploitation d’un ouvrage de prélèvement peut s’appuyer sur un ou plusieurs modes d’extraction physique de l’eau (gravitaire ou dérivation, pompage,..), un seul mode d’extraction étant généralement appliqué au niveau de chacun de ses points de prélèvement. Dès lors qu’il existe une copropriété du matériel constitutif d’un ouvrage de prélèvement, le maître d’ouvrage est obligatoirement celui ayant été déclaré comme tel auprès de son organisme instructeur de tutelle. La maintenance et l’exploitation d’un ouvrage de prélèvement sont placés sous la responsabilité juridique et administrative d’un seul exploitant (ou gestionnaire), lequel peut être identique au maître d’ouvrage, ceci durant une période couverte par les dates de début et de fin de prise de fonction. Un ouvrage de prélèvement est localisé sur une et une seule commune principale, elle-même identifiée par son code INSEE. Dans le cas d’un ouvrage de prélèvement d’eau littorale, celui-ci est considéré comme étant localisé sur la commune possédant la responsabilité administrative du territoire maritime ou de la zone littorale dans laquelle se trouve l’ouvrage de prélèvement.
Les différentes aménités, commodités, accessibilités et les paramètres susceptibles d'avoir un poids dans le potentiel attractif de la zone sont répertoriés dans la zone de 120 mètres au-dessus des laisses de basses mers. Certaines des couches proposées ici ont été créées dans le cadre de la thèse d'Anne Lemahieu, d'autres avaient été créées avant, mais ont pu être mises à jour à cette occasion.