From 1 - 10 / 14
  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • Parallèlement à la mesure de l’étalement urbain année après année, cette donnée propose une qualification des espaces urbanisés identifiés selon leurs fonctions urbaines. La composante de la tache urbaine est générée à partir des données suivantes : - Tache urbaine ou tache urbaine intermédiaire (DEAL/AGORAH) - Les fichiers fonciers standard / PCI-Vecteur (DGFIP) - La BD_Route (IGN ) - La base permanente des équipements (AGORAH) - La base hydrographique (IGN) - La base d'occupation du sol agricole (DAAF) - La base du foncier économique (AGORAH) - Des PAI industriel et commercial (IGN) - Du repertoire des immeubles localisés - RIL (INSEE) Elle se scindent en 11 types d'entités : 1-Habitation : Parcelle à vocation d’habitat exclusivement. Correspond à des maisons ou immeuble, formes collectives ou individuelles ou mixte à l’échelle de la parcelle. 2-Activité commerciale : Parcelle à vocation commerciale exclusivement. Correspond aux grandes, moyennes surfaces alimentaires (super hyper marché) ou aux surfaces spécialisées (magasins de bricolage, de jardinage, automobile etc...), tissu commercial de détail hors zones d’activités (marchands de fruits et légumes, ensemble de petits commerces de proximité (coiffeur, boulangerie, tabac presse, restaurants...). 3-Autres activités : Parcelle à vocation d’activité autre que commerciale tel des activités du BTP, de production, de logistique distribution, tertiaires qualifiés localisées en zones l’activités ou dans le tissu urbain. Les banques, assureurs, agence immobilières sont également classées dans ce type. 4-Equipement : Parcelle associé à un service public tel des écoles, des gendarmeries, des parcs publics... 5-Foncier mixte : Parcelle répondant à plusieurs vocations. On y retrouve 5 formes différentes : • Mixité Habitat/Equipement, • Mixité Habitat/Autres activités, • Mixité Habitat/Commerce, • Mixité Habitat/Commerce/Equipement, • Mixité Commerce/Equipement. 6-Agricole : Parcelle généralement en bordure de tache urbaine ayant un usage agricole. 7-Domaine routier : (linéaires et espaces associés) : emprise du réseau routier, ensemble de voies de gabarits divers : routes départementales, routes nationales, chemins communaux...et ensemble des délaissés routiers associés. 8-Terrain en friche, espace divers non bâti : Ce type peut regrouper un ensemble de parcelles de configuration diverses dont la caractéristique est d’être non occupée, non bâties. Parfois des usages semblent exister : parkings sauvages ou non, espaces privés aménagés, espaces végétalisés, espaces vacants ou encore les ravines. Cette classe regroupe également les délaissés difficilement qualifiable. 9-Autre propriété publique bâtie : Parcelles publiques occupées par un ou plusieurs bâtiments utilisés ou non, patrimoine bâti public non renseigné à travers les autres catégories d’espaces identifiées. 10-Foncier bâti non renseigne : Ensemble des bâtiments appartenant à des personnes privées sans information sur leur usage à partir de notre méthode de classification. 11-Lisière urbaine non qualifiée : Correspond à des morceaux de parcelles en limite externe de l’enveloppe qui sont non bâtis et qui n’ont pas été qualifié Cette donnée n'aborde pas la notion de densité. Le terme de foncier mixte n’est pas à assimiler à la notion couramment employée de mixité urbaine. Les bases de données de référence, les fichiers fonciers standards (Cadastre DGFIP) utilisés pour ce travail, sont des données déclaratives pouvant présenter un certain décalage par rapport à la réalité. L’usage d’un bâtiment ou d’un terrain est cependant suffisamment fiable pour être utilisé.

  • L’un des enjeux fort du SAR est la capacité à maitriser l’étalement urbain en vue notamment de préserver les espaces agricoles et naturels. La mesure de la densité est matérialisée par 4 indicateurs spécifiques au titre du suivi des indicateurs environnementaux. Il s’agit de : · 4-1_Espace urbain - Zone dense · 4-2_Espace urbain - Zone étalée · 4-3_Espace urbain - Zone dispersée · 6-2_Extension des zones d'urbanisation dispersées Ces indicateurs traduisent une densité « horizontale », une « compacité » du bâti qui ne prend ni en compte le nombre de logements, ni les formes urbaines associées (niveau de construction, collectif, individuel etc…). Il ne s’agit pas de quantifier mais de qualifier l’extension urbaine.

  • La tache urbaine est une donnée de référence à la Réunion pour la mesure de l’étalement urbain. Elle est une réponse à un besoin de spatialiser l’espace urbanisé, de le quantifier et de suivre dans le temps ses évolutions afin d’alimenter les réflexions de planification et de prospective territoriale. Elle est calculée depuis 1997 selon une approche morphologique ayant pour base la réalisation d'une zone tampon autour des bâtiments de la BD Topo de l'IGN.

  • La tache urbaine est une donnée de référence à la Réunion pour la mesure de l’étalement urbain. Elle est une réponse à un besoin de spatialiser l’espace urbanisé, de le quantifier et de suivre dans le temps ses évolutions afin d’alimenter les réflexions de planification et de prospective territoriale. Elle est calculée depuis 1997 selon une approche morphologique ayant pour base la réalisation d'une zone tampon autour des bâtiments de la BD Topo de l'IGN.

  • Limite des grands quartiers