Ces données sont une estimation du nombre annuel de femelles présentes sur les principaux sites de reproduction : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique, Tromelin, Iranja, Farquhar, Aldabra, Cosmoledo, Amirantes et Granitics. Ces données sont issues du projet "génétique tortue" porté par Kélonia/Ifremer.
Cette représentation graphique illustre les couloirs migratoires des tortues vertes en migration post-reproductive depuis les principaux sites de ponte du Sud-Ouest de l'océan Indien. Elle se base sur 77 trajets de tortues vertes acquis entre 1998 et 2012 à partir des sites de pontes Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Le modèle utilisé pour extrapoler les données est une approche MKDE. Pour plus de renseignements sur la méthode, voir Bourjea et al. 2013. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projet "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.
Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes balisées après leur reproduction. On regarde ici la relation entre site final de migration et la présence d'une AMP, et ce quelque soit le site de départ (endroit où la balise Argos est posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre des projets "DYMITILE" Kélonia / Ifremer.
Ces déplacements représentent des migrations de tortues vertes équipées d'une balise Argos après leur reproduction. On regarde ici la migration des tortues en fonction du site de départ (lieu où la balise Argos à été posée) : Europa, Glorieuses, Juan de Nova, Mayotte, Mohéli, Mozambique et Tromelin. Ici seules les tortues ayant finalisé leur migration (ayant passé plus de 10 jours sur leurs zones d'alimentation) sont représentées. Ces suivis ont eu lieu dans le cadre du projets "DYMITILE" Kelonia / Ifremer.