Topic

 

environment

141 record(s)

 

Type of resources

Available actions

Topics

Keywords

Contact for the resource

Provided by

Years

Formats

Representation types

Update frequencies

Status

Scale

Resolution

From 1 - 10 / 141
  • Un parc national est un espace terrestre ou maritime dont le milieu naturel et, le cas échéant, le patrimoine culturel, « présentent un intérêt spécial » (art. L. 331-1 Code de l'Environnement) Le territoire d'un parc national est composé de deux zones : - le cœur du parc. Afin de préserver le caractère du parc, ce territoire est soumis à une réglementation particulière qui encadre plus ou moins fortement certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. A l’intérieur de cet espace, des réserves intégrales peuvent être constituées pour des raisons scientifiques. Un parc national peut comprendre des espaces appartenant au domaine public maritime et aux eaux sous souveraineté de l’État pour constituer un cœur marin ou une aire maritime adjacente. - l’aire d’adhésion. Cette zone qui entoure le cœur du parc résulte de la libre adhésion à la charte du parc national des communes situées à l’intérieur d’un périmètre optimal fixé par le décret de création du parc. La charte du parc national est un document issu de la concertation qui a pour objectif de traduire la continuité écologique et l’existence d’un espace de vie entre le cœur et l’aire d’adhésion. Elle vise à fédérer les engagements de chaque collectivité signataire autour d’un projet de développement durable. La charte est un projet concerté de territoire. Elle concerne à la fois le cœur et l'aire d'adhésion. Construite collectivement avec les communes et les acteurs du territoire, elle indique les orientations de protection, de mise en valeur et de développement durable retenues pour le territoire pour une durée de validité de 15 ans. Les territoires des communes qui adhèrent à la charte du parc national constituent l'aire d'adhésion du parc national (AA) Les communes, pour leurs territoires hors cœur, qui décident de ne pas adhérer à la charte restent en 'aire potentielle d'adhésion' (APA). Elles ont néanmoins la possibilité d'adhérer à la charte trois ans après son approbation. La révision de la charte est lancée 12 ans après son approbation, le processus consultatif dure en moyenne 3 ans. Après cette période de 15 ans, l'ensemble des communes sont à nouveau consultées, sur la charte révisée. Les codes utilisés dans les tables sont les suivants : CTPN (cœur terrestre du parc national), CMPN (cœur marin du parc national), AMAPN (aire maritime adjacente du parc national), AAPN (aire d'adhésion du parc national), APAPN (aire potentielle d'adhésion du parc national)

  • La pollution lumineuse est un des facteurs qui a un impact non négligeable sur le taux de survie des nouveau-nés et sur le choix d’un site de ponte par les femelles chez la plupart des espèces de tortues marines. En effet, lors de l’éclosion, les nouveau-nés se dirigent vers la mer à l’aide du reflet de la lumière du soleil ou de la lune ou des étoiles sur l’eau. Les jeunes se précipitent donc, en majorité, vers le point le plus lumineux. En ce qui concerne les femelles, ces dernières viennent pondre pendant la nuit et ne doivent pas être dérangées et se cacher des prédateurs pendant les quelques heures qu’elles passeront sur le sable pour pondre. Les éclairages publics et privés représentent donc une gêne pour elles. Si l’endroit ne leur convient pas à cause des lumières ou autres facteurs anthropiques, elles remettront à plus tard leur ponte. Cependant, si elles n’arrivent pas à trouver un lieu adéquat, elles rejetteront les oeufs à la mer. Une première étude de la pollution lumineuse a été réalisée par Kelonia en 2011 afin de mesurer l'intensité lumineuse et d'évaluer la pollution générée sur les plages sableuses de l'île. Ce protocole, arpès réajustements (fréquence d'échantillonnage, paramètres associés), a été mis en œuvre en 2020 par le CEDTM.

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction des effets de surface de l'eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l'AAMP et l'Ifremer. Plusieurs projets spécifiques ont ensuite permis d'appliquer / adapter ces développements aux différentes sous-secteurs géographiques. Le traitement de ces données hyperspectrales a permis de générer une image multispectrale à 4 bandes (Rouge/Vert/Bleu/Proche Infra-rouge), améliorant la compréhension et l’interprétation de certaines zones peu évidentes (ombres, nuages, artéfacts liés à la surface de l’eau, profondeur, etc.). La correction des effets de surface, permet une meilleure perception du fond dans les plus grandes profondeurs par rapport à la donnée hyperspectrale brute.

  • La couche des Aires Marines Educatives (AME) contient les quatre zones crées entre 2017 et 2019 dont l'objectif est de faire participer des classes (CM1 et CM2) dans la sensibilisation et le gestion du patrimoine culturel et naturel. Ainsi la RNMR accompagnée de ses partenaires, met en place tout un projet pédagogique et éco-citoyen de connaissance et de protection du milieu marin, tout au long de l'année scolaire. Les stations de suivis rattachées à ces AME représentent l'opportunité pour les enfants d'en apprendre plus sur la végétation, les dêchets pour les stations de plage et sur les récifs et leurs constituants pour les stations récifales.

  • Cette couche est temporairement hébergée sur sextant. Elle sera bientôt accessible sur le serveur de la DEAL Réunion à travers l’outil de cartographie dynamique CARMEN.

  • Le Parc national de La Réunion a été créé par décret le 5 avril 2007. La représentation cartographique de la délimitation du Cœur est issue de la numérisation des éléments qui le bordent tels que : • des objets naturels, crêtes, thalwegs, sommets de remparts ; • des objets construits, routes, pistes, sentiers ; • des limites du domaine public ; • des limites de commune ; • le parcellaire ou des éléments liés au parcellaire. Ainsi la qualité géométrique du fichier numérique format « donnée SIG » est lié à la qualité de représentation de ces données et une meilleure définition de celles-ci améliore donc la délimitation du Cœur du parc national sans pour autant la changer : la réalité du terrain reste la même, seule la représentation s'améliore. L'Aire Ouverte à l'Adhésion est, pour sa part, délimitée par la limite des Hauts administratifs (ceux-ci sont délimités par décret du 23/06/78 créant une zone spéciale d'action rurale, sur laquelle s'applique le Fonds de Rénovation Rurale et représentent environ 80 % de la superficie de l'île) agrandie du lit majeur des 13 grandes ravines pérennes. L'échelle de validité est le 1 : 25000 pour le Coeur et le 1 : 100000 pour l'Aire d'adhésion L'Aire d'adhésion est officialisée par l'arrêté préfectoral n° 15-386/SG/DRCTCV4 du 9 mars 2015 17 communes ont adhéré en 2014.

  • Zones définies dans le cadre de la stratégie 2015-2050 de l'établissement

  • Le point de prélèvement est un sous-espace caractéristique et représentatif pour l'objet qui lui a été défini de la station, qui est clairement identifié et localisé afin d'y effectuer de façon répétitive des mesures pour une connaissance approfondie du milieu à l'endroit de la station. Les points de prélèvements sont aussi les lieux sur la station où le préleveur devra effectuer, dans la mesure du possible, ses prélèvements ou ses mesures in situ. Un point de prélèvement peut faire l'objet de prélèvements de différents supports, inertes ou biologiques ( Eau, sédiment, diatomées, macrophytes, macro-invertébrés,...). Chaque point de prélèvement peut appartenir à un ou plusieurs réseaux de mesure et faire l'objet d'une ou plusieurs utilisations pour chacun desquels la ou les périodes d'appartenance seront précisées. Chaque point est identifié et localisé par le ou les organismes en charge de la gestion de la station de mesure. Ces informations sont administrées par les Agences de l'Eau et relèvent de la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrages des réseaux de mesure ou utilisations auxquelles la station est rattachée.

  • Certaines zones ont été identifiées comme "Spot de Surf" et sont matérialisées ici par des points. On en compte 7 sur la commune de Saint-Paul.

  • Planche illustrant les vecteurs de pollution et de dégradation potentiels des plateformes récifales de Saint-Paul à Grand Anse observées et recueillies dans le cadre des travaux réalisés par le groupement CAREX Environnement / ARVAM en 2005 pour le compte de l'association "Parc Marin de La Réunion". (Carex Environnement, Arvam, 2005. Conservation et réhabilitation des récifs coralliens de La Réunion - Phase 2 - Saint-Gilles, Saint-Leu, Saint-Pierre. 60p. + Annexes)